Boxe au Gabon:Qui en veut autant au Bénino-Gabonais Clément Simawango Sossa, président de la FEGABOXE? Pourquoi tant d’acharnements contre lui ?

Cabales, conspirations, diffamations, acharnements, jalousie… Tout y est passé pour anéantir un volontaire opérateur économique dont le seul tort est d’avoir choisi d’investir et soutenir pour leur éclosion et l’honneur d’une Nation, des talents en boxe. Victime de manipulations et de manœuvres ponctuées d’actes ignominieux organisés en quatre grands épisodes, Maître Clément Simawango Sossa est subitement devenu la paria de vils gens à la solde d’une mafia dont les attaques n’ont pu avoir raison du jeune Bénino-Gabonais, grâce à la clairvoyance d’une justice impartiale et noble. Que reproche-t-on en fait à cet opérateur devenu mécénat de la boxe gabonaise dont il a la gestion ? En effet, élu président de la Fédération gabonaise de boxe (Fégaboxe) depuis 2004, Maître Clément Simawango Sossa a réussi à porter au pinacle de la réussite et de l’honneur la boxe gabonaise. Ainsi, plus de trois cents (300) médailles, trophées et ceintures de Boxe (toutes catégories et qualités confondues) ont été engrangées par cette fédération et ce, grâce au dynamisme et à l’engagement de cet homme qui porte les germes d’homme exceptionnel doté d’intelligence et béni de Dieu. Cette réussite a suscité quelque part la jalousie d’une mafia nourrie de haine et de convoitise et qui se sert de média pour « cribler » d’injures et de fausses accusations le président Sossa. La trouvaille est toute simple : Me Clément Simawango Sossa serait détenteur de faux certificat de nationalité pourtant délivré par de hautes autorités gabonaises et il se serait rendu coupable d’immigration frauduleuse de boxeurs d’origine étrangère, notamment des Camerounais. Par presse interposée, le journaliste Jonas Moulenda du quotidien de service public « l’Union », a, sous sa plume toxique, écrit dans le n° 10723 du jeudi 08 septembre 2011 que Me « Clément Sossa est activement recherché par la police ». Par ses écrits, M. Moulenda s’est évertué à démontrer à la place du Centre de documentation chargée de l’immigration et de l’émigration connu sous le nom de CEDOC, que Me Sossa serait Béninois et aurait favorisé l’immigration de boxeurs étrangers. Comme cela ne suffisait pas, l’écrivaillon récidive en variant un peu sur le sujet. Cette fois-ci, il parle de la reddition du supposé recherché Clément dont il exigea par ailleurs et de façon étonnante, la démission de la tête de la Fegaboxe. (Cf. « l’Union » n°10729 du jeudi 15 septembre 2011 paraissant sur les presses de la SONAPRESSE de Libreville, Gabon). Le 19 septembre 2011, dans son numéro 10733, « l’Union » rapporte sous la plume du même journaliste aux ordres, que Me Clément Sossa est mis en liberté provisoire. Dans un mélange de néophyte, Jonas Moulenda rapporte et commente que le procureur du tribunal aurait chargé le service de contre-ingérence, aux fins d’enquêter sur les faits reprochés à Me Clément Sossa. Ce service encore appelé B2 aurait produit son rapport qui serait ensuite transmis à la Cour d’appel, après que le parquet se serait déchargé de l’affaire en la classant sans suite en 2007. Agacé, Jonas Moulenda, Mikolo Mikolo, et leurs instigateurs, jaloux de l’essor du président Clément Sossa que sont Nzigou Manfoumbi Bonaventure et l’Amiral Marc Sossa (frère de Clément) ont réussi à s’adjuver les services du Cedoc, du B2 et la direction générale des Recherches. En 2010, à la veille des élections de la Fegaboxe, malgré les poursuites initiées par les éléments armés du B2 et les enquêtes de moralité, Me Sossa s’en ai sorti gagnant et fût réélu à 100% des voix, président de la Fegaboxe, pour un mandat de 2 ans + 4 ans (2010/2016). Commentaire : Acharnements inutiles Les charges portées contre Me Clément Sossa sont suffisamment graves et particulièrement lourdes. Si les faits ainsi élevés contre l’intéressé s’étaient avérés, seraient constitutifs de faute pénale qui aurait mis fin à la jouissance de cette naturalisation. Mais l’acharnement des uns et des autres justifié par la virulence des écrits, n’a pu triompher de la réalité des faits. Me Clément Simawango Sossa est toujours en liberté, jouit de ses droits et continue d’œuvrer à la promotion de la boxe qu’il a choisie comme passion et pour laquelle il a sérieusement investit. Même si l’intéressé avait œuvré par tous moyens pour se naturaliser Gabonais, pourquoi avoir attendu vingt-cinq (25) ans après son installation avant de vouloir rompre ce lien qui le lie à la patrie gabonaise ? Quelle est la législation positive qui ne reconnait pas d’office à Me Clément Simawango Sossa sa citoyenneté après tant d’années passées, de manière permanente et continue ? De futilités teintées de jalousie maladive, Me Clément Simawango Sossa en sera rageusement victime mais victorieux de ces attaques mensongères. Acte 2 : Le triomphe de la vérité Me Clément Simawango Sossa n’en serait pas au bout de ses peines. Car les ennemis toujours virulents, changeront de stratégie et trouveront encore l’alibi pour soutenir leur visée. Le Mercredi 13 juin 2012, le journal « l’Union » (encore lui), dans son n°10954, rapporte à sa page 10 avec titre à la « Une », que Me Sossa serait une fois encore plongé dans une autre affaire salissante et démoralisante. Il serait « suspecté de séquestration et d’abus sexuels », accusations portées par deux boxeuses. Celles-ci arguent que Me Sossa aurait usé de tous les subterfuges (menace, gris-gris…) pour parvenir à ses fins libidinales, contre le consentement de ses victimes. Me Clément Simawango Sossa a été écroué arbitrairement (12 jours) pour, prétend-on, répondre de ses actes commis sous contrainte. Le 15 juin, le même journal étend l’acte incriminé à d’autres membres de la Fegaboxe, institution qui vit et grandit aux dépens des énormes moyens investis par Me Clément Simawango Sossa. Il s’agit du Coach de la fédération, M. Ollo Désiré. La réalité des faits M. Désiré Ollo, coach adjoint de la Fegaboxe, avait pris l’habitude de sortir les filles boxeuses. Ce comportement délictueux que n’approuvent guère Me Clément Simawango Sossa et le chef de délégation, le Docteur Bingouréa, a fait l’objet de plusieurs disputes entre les responsables de la fédération. Me Clément Simawango Sossa fut cueilli à froid au sortir de l’invitation du président du CNO, Mr. Folquet, par des sbires armés jusqu’aux dents, puis jeté au violon comme de vulgaire type ou un bandit de grands chemins. Il y passa douze (12) jours d’incarcération. La justice ayant compris la supercherie, ne put s’empêcher de prononcer la relaxation pure et simple de Me Clément Simawango Sossa. La justice, une fois encore, évite de tomber dans les subterfuges de la mafia qui œuvre à la destruction de Me Clément Simawango Sossa pourtant notable et patriote convaincu et accompli du Gabon. Acte 3 : Décisif round remporté La manœuvres et autres attaques contre la personne de Me Clément Simawango Sossa se poursuivent allègrement. Les auteurs vont dénicher chez l’intéressé des amulettes dont il ferait usage pour parvenir à ses fins. Mais la preuve n’est pas rapportée et au finish, il a « remporté son round décisif », a rapporté cette fois-ci, non « l’Union », mais « La Griffe », qui est un journal satirique indépendant – dans son n°498 du vendredi 15 juin 2012. Toujours gagnant Des nombreuses et multiples accusations, Me Clément S. Sossa s’en est sorti avec bonheur et les charges portées contre sa personne sont dénuées de tout fondement. Aussi bien le parquet que la Cour d’Appel de Libreville n’ont pu s’empêcher de classer purement et simplement ces dossiers aux contours insolites et à relent d’intoxication par presse interposée. Ce qui étonne, c’est cet acharnement fait de machines destructrices qui s’est révélé comme de simples chantages et manœuvres maléfiques outrés contre un homme dont le seul tort est de faire la fierté d’une Nation dont on lui nie l’appartenance. Ailleurs, des gens de la trempe de Me Clément Simawango Sossa sont vénérés et accueillis en héros, adulés du large public. Ailleurs, Me Clément Simawango Sossa est reçu sur tapis rouge. Ailleurs en France, aux USA et même au Bénin, il dispose de Fan Clubs qui sollicitent son intervention pour insuffler une nouvelle dynamique aux activités sportives, notamment la boxe qui constitue sa passion. Au Gabon par contre, tout comme le dit l’adage « nul n’est prophète chez soi », il fait l’objet de vilipandage, de calomnie et de tentatives de destruction de sa personne et de ruine de ses biens. Mais la clairvoyance de la justice gabonaise qui mesure l’importance des interventions éparses de Me Clément Simawango Sossa et déterminée à accompagner le Chef d’Etat gabonais, Son Excellence Ali Bongo Ondimba, dans sa démarche de développement de tout le Gabon, n’a pas donné heureusement, dans le sens des mécréants et détracteurs de la politique de Ali Bongo Ondimba. Elle sait se mettre au-dessus de la mêlée pour triompher de l’injustice sociale. Me Clément Simawango Sossa est toujours sain et sauf, toujours gagnant. Nous, association internationale de soutien à cet indéniable compatriote mettons en garde contre toute tentative pouvant porter atteinte à son intégrité physique et celle de sa famille, invitons les plus hautes autorités de l’Etat gabonais à prendre leurs responsabilités afin de mettre hors d’état de nuire ses conspirateurs qui n’ont fait que dénigrer notre pays.

Auteur : Rogatien Tambou

Pdt FAN CLUB EUROPE de Me CLEMENT SIMAWANGO SOSSA

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2 commentaires sur “Boxe au Gabon:Qui en veut autant au Bénino-Gabonais Clément Simawango Sossa, président de la FEGABOXE? Pourquoi tant d’acharnements contre lui ?”

  1. je ne comprend pas pourqoui eskon peu etre aussi ingrat envers un homm de bon coeur qui as tjr opter pour le developpement de sa nation sa sai le monde a lenvers. que fair alors le president de ce pays mais ce nai pas du tou normal sai des actes kil fo senctionner.

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